Années pop et slow consommation, ma vie à vélo

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La slow consommation est une manière innovante de consommer. Elle consiste à se réapproprier le temps et à mieux consommer. Le mot « slow » qui est tout le contraire du mot « fast » signifie « lent » en anglais. Ainsi, « slow consommation » se traduit par « prendre le temps de consommer ».
Cette nouvelle tendance nous pousse à repenser à notre façon de consommer et elle nous encourage surtout à opter pour une consommation responsable, respectueux de l’environnement, de la santé, de l’économie et du social. Elle ne concerne pas uniquement les produits à consommer, elle peut aussi s’appliquer dans le logement et dans le transport. Explications.

La slow consommation dans l’alimentation

Quand on parle de consommation, on pense tout de suite aux produits alimentaires, aux produits de premières nécessités et aux différents produits consommables. Ces derniers sont effectivement touchés par la notion de slow consommation car ils doivent être choisis intelligemment et objectivement par les consommateurs.
A titre d’illustration, il faut par exemple privilégier des produits avec un bilan carbone faible, des produits « sains » et des produits fabriqués localement via des circuits courts. Puis, il faut aussi s’intéresser aux produits écologiques et pratiquement recyclables.

La slow consommation dans le logement

Mais il n’y a pas que ces produits, la slow consommation peut également s’appliquer à l’habitat. Elle incite les utilisateurs à consommer moins d’énergie en programmant les appareils électriques de la maison via la domotique ou en les contrôlant à distance. Ainsi, ces derniers ne feront plus de gaspillage de chauffage et d’éclairage et ils peuvent même réduire leur facture d’énergie et économiser de l’argent.

La slow consommation dans le transport

Côté déplacement, la slow consommation encourage aussi l’utilisation des moyens de transports écologiques. C’est le cas par exemple du vélo qui ne pollue pas du tout l’air et l’environnement et qui n’a pas besoin de carburant pour rouler.
C’est même l’un des solutions efficaces qui permettent de réduire les émissions de gaz à effet de serre et d’éviter les conséquences dévastatrices du réchauffement climatique telles que la dégradation de l’environnement, la sècheresse, les maladies et les évènements climatiques extrêmes.
Par ailleurs, il ne faut pas oublier que le vélo est également un engin silencieux. Il n’engendre aucune nuisance sonore et il roule discrètement.
Enfin, le vélo garantit aussi un encombrement minimum. Il n’occupe que très peu de place en stationnement et en circulation et il peut circuler entre les voitures en cas d’embouteillages. En fait, un vélo requiert uniquement 1m² sur le parking et 2m² sur la route.

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